On obtient le graphique suivant ; Qu'est ce que c'est que la première cause de mortalité en France et comment explique t-on : l'espérance de vie qui augmente sans cesse et la progression des obsèques par crémation dans un second. La proportion de décès considérés comme évitables est en baisse générale en France. souhaitée] ; on estime qu'elles causent 13 000 morts par an en France[13]. En 2013, le CépiDc de l'Inserm a recensé la mort de 567 078 personnes sur l'ensemble de la France[12]. L’un est une observation à une année déterminée, l’autre est une moyenne, poursuit Daniel Lévy-Bruhl, coauteur du rapport de Santé Publique France d’où sont issus ces chiffres. 14,6 %, soit 452, étaient dues à une mort subite du nourrisson ou à une cause inconnue. Entre le 1er janvier et le 22 février 2021, la France a connu une hausse de la mortalité par rapport à la même période en 2020 et 2019. 86 707 adultes âgés entre 45 et 64 ans sont morts, soit un taux de mortalité de 530,9 pour 100 000. Si le nombre de décès est globalement stable en France sur la période du 1ᵉʳ mai au 31 août 2020 par rapport à la même période de l’an passé, il baisse chez les moins de 50 ans, qui avaient également été épargnés par la hausse de mortalité en mars-avril. L’accès aux principales séries statistiques de mortalité et la possibilité de les manipuler sous forme de tableaux graphiques et cartes est gratuit. En 2008, le CépiDc de l'Inserm a recensé 3 095 morts d'enfants de moins d'un an en France, soit un taux de mortalité de 374,9 pour 100 000[7]. La mortalité maternelle est la mort de la femme durant la grossesse ou par suite de l'accouchement. Globalement sur l’année la surmortalité par rapport à 2019 s’élève à 52 007 décès supplémentaires et 55 313 par rapport à 2018 (en tenant compte du 29 février qui ajoute une journée de décès par rapport aux années de références). En 2019, les 10 principales causes de mortalité ont été responsables de 55 % des 55,4 millions de décès survenus dans le monde. En 2020, année marquée par le Covid-19, la mortalité a augmenté de 9% en France par rapport à 2019, selon une estimation provisoire de l'Insee Du 1 er janvier au 22 février 2021, 110 302 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 5 mars 2021, soit 14 % de plus que sur la même période de 2020 (+ 13 722 décès) et 5 % de plus qu’en 2019 (+ 5 534 décès), les décès causés par la grippe hivernale ayant été plus nombreux début 2019 que début 2020. L’Ined s’inscrit dans le renouvellement de la recherche française. Le nombre de décès , toutes causes confondues, enregistrés en France entre le 1er janvier et le 22 février était supérieur de 14% à celui comptabilisé sur la même période de 2020, a indiqué vendredi 5 mars l'Insee. Au 1er janvier 2019, le nombre de personnes habitant en France est estimé à 67,19 millions, dont 65 millions en France métropolitaine et 2,2 millions dans les départements et régions d'… Alors que la France enregistre en moyenne entre 1 400 et 1 900 décès quotidiens, on a dépassé 2 000 morts presque tous les jours entre le 16 mars … Taux de mortalité par sexe et âge en 2012. L’institut s’investit dans de grands projets, comme le Campus Condorcet, qui transforment le paysage des sciences humaines et sociales en Ile-de-France. La population a augmenté de 50 %, tandis que l’effectif des «85 ans ou plus» est multiplié par 6. Lors de la saison 2014-2015, un épisode de grippe exceptionnel a généré une … Sur ces graphiques, le noir (0) indique qu'il n'y a pas de mortalité pour l'année en abscisse et l'âge en ordonnée, le blanc (100) indique qu'il s'agit de l'âge pour lequel il y a le maximum de décès cette année. Mortalité en France : des décès en hausse de 14% depuis le début d’année par rapport à 2020 Il n'est pas pertinent, pour plusieurs raisons. Quelle est la mortalité du tabagisme en France ? Entre le 1er janvier et le 22 février 2021, la France a connu une hausse de la mortalité par rapport à la même période en 2020 et 2019. Le nombre de décès diminue de 1% par rapport à l'année … Les taux de décès ont baissé de 27 % entre 2000 et 2008 (les accidents mortels ont diminué de 40 % et les tumeurs de 17 %)[7]. Pour la première année complète de l'application des 80 km/h, la mortalité routière n'a pas évolué en France durant l'année 2019. 1 409 enfants âgés d'un an à quatorze ans sont morts, ce qui représente un taux de mortalité de 12,8 pour 100 000. Le nombre de décès recensés en France métropolitaine par l'Insee a varié dans l'intervalle [500 000, 560 000] entre 1980 et 2009[6]. Champ : France hors Mayotte jusqu'en 2013 et y compris Mayotte à partir de 2014. On sait combien elles ont eu d’enfants avant 34 ans, et l’on peut estimer combien elles auront d’enfants au cours de leur vie. La hausse n’est que de 5 %, ce qui s’explique par le fait que la grippe saisonnière a été plus meurtrière début 2019 que début 2020, précise l’Insee. Il peut s'expliquer par une cause structurelle comme le vieillissement des « baby-boomers »[8] qui atteignent un âge où ils sont plus fragiles, mais aussi des facteurs plus conjoncturels comme une épidémie de grippe particulièrement virulente au premier trimestre, plusieurs épisodes de canicule en juillet et en août, et une vague de froid en octobre[9]. Lecture : en 2020, le nombre de décès est de 658 000, soit 9,8 décès pour 1 000 habitants. Pour avoir un ordre d’idée, il y a eu, en 2019 (les chiffres varient d’année en année), 610 000 décès en France. Le rouge (50) indique qu'il y a eu 50 % du nombre de décès maximum de l'année classé par âge. Nous verrons ici aussi les 4 autres causes de mortalités les plus courantes en France Au regard des connaissances obstétricales contemporaines, de nombreux cas de morts maternelles sont considérés comme évitables. 50,3 % de ces morts étaient dues à des affections dont l'origine est la période périnatale, ce qui représente 1 557 enfants. Ces graphiques montrent la répartition des décès en fonction de l'année et de l'âge du décès. En 2017, un nouveau record est atteint avec 603 000 décès, avec un taux de mortalité de 929,7 pour 100 000 habitants, soit une augmentation de plus de 9 000 décès (1,5 %) par rapport à 2016, avec un taux de mortalité de 920,9 pour 100 000 habitants[10]. Les femmes en fumaient en moyenne moins, avec 11,4 cigarettes par jour, mais la quantité était stable par rapport à 2014. Un modèle statistique basé sur l'excès de mortalité et développé par Santé publique France permet d'estimer qu'il y a eu entre 8 100 et 14 400 décès attribuables à la grippe par an durant les trois dernières saisons grippales étudiées. Malgré des échantillons faibles on peut tout de même noter que cette différence était déjà présente dans le rapport de 2007-2009. Depuis le 1er mars 2020 l’Insee a mis en ligne les décès quotidiens par département et sur la France entière, toutes causes de mortalité confondues. L'analyse de la mortalité en France permet de guider les objectifs de santé publique de la France[4],[5]. En France, en 2019, l’ espérance de vie à la naissance est de 85,6 ans pour les femmes et de 79,7 ans pour les hommes. Le taux de mortalité était cette année-là de 719,5 pour 100 000 habitants, de 972,0 pour 100 000 habitants pour les hommes, et de 544,6 pour 100 000 habitants chez les femmes[7]. Lecture : en 2020, le nombre de décès est de 658 000. En 2008, le CépiDc de l'Inserm a recensé la mort de 543 139 personnes en France. L'année 2015 enregistre un chiffre record de 594 000 décès, avec un taux de mortalité de 924,1 pour 100 000 habitants, un chiffre supérieur de 6,1 % à celui de 2014, avec un taux de mortalité de 875,0 pour 100 000 habitants. 236 374 adultes âgés entre 65 et 84 ans sont morts, soit un taux de mortalité de 2606,4 pour 100 000. En 2010, l'observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR) a recensé 3 992 morts dus à des accidents de la route (mortalité à 30 jours) en France métropolitaine, dont 2 117 à bord d'un véhicule léger[53]. Parmi ces maladies infectieuses on note : En 2013, environ 85 % des décès causés par les maladies infectieuses et parasitaires ont eu lieu chez des personnes de plus de 65 ans[54]. Espérance de vie à divers âges et taux de mortalité infantile, France métropolitaine; Année … La population a augmenté de 50 %, tandis que l’effectif des «85 ans ou plus» est multiplié par 6. Quatre principales causes, tous sexes confondus, totalisent les deux tiers (73 %) des décès en France (données 2013) : les tumeurs malignes (37,2 % des décès), les morts violentes (accidents, suicides et autres causes externes de décès, 16,2 %), les maladies de l’appareil circulatoire (maladies cardiovasculaires, 13,6 %) et les maladies de l’appareil respiratoire (6 %)[3]. Elle se poursuit en ce début d'année 2021, malgré une légère baisse fin 2020. On peut noter aussi grâce à la répartition des décès maternels par région de résidence, une différence importante entre la France métropolitaine et les départements d'outre-mer. Les décès de causes directes découlent de traitements erronés, de complications obstétricales (du début de la grossesse aux suites de couches jusqu'à 42 jours après l'accouchement), d'omissions ou d’événements liés à ces causes. Le 5e rapport de l'Enquête nationale Confidentielle sur les morts maternelles (ENCMM) 2010-2012 concluait de cette manière sur les chiffres du tableau ci-dessus: La moyenne des décès quotidiens de 2018 et 2019 sert de référence pour 2020. p : décès 2020, taux de mortalité 2018 à 2020 : données provisoires arrêtées à fin Mortalité par maladies infectieuses en France Situation actuelle et tendances évolutives Synthèse réalisée par Hassina Lefèvre, Gérard Pavillon, Alain Le Toullec, Françoise Péquignot, Eric Jougla Inserm -CépiDc 44, chemin de Ronde 78110 Le Vésinet. En 2000, ce même institut avait recensé la mort de 540 702 personnes en France, avec un taux de mortalité de 840,2 pour 100 000 habitants, et plus précisément de 1 137,7 pour 100 000 habitants pour les hommes, et de 632,6 pour 100 000 habitants pour les femmes[7]. En 2004, ce même institut avait recensé la mort de 509 408 personnes en France métropolitaine, avec un taux de mortalité de 750,1 pour 100 000 habitants, et plus précisément de 1 012,9 pour 100 000 habitants pour les hommes et de 565,6 pour 100 000 habitants pour les femmes[5]. Entre le 1 er janvier et le 31 décembre 2020, 667 361 personnes sont mortes en France, contre 613 456 en 2019 et 609 996 en 2018. 2020 Ce graphique illustre le taux de mortalité pour 1.000 habitants en France de 2004 à 2019. En 2008, 3 095 enfants de moins d'un an sont morts (les 2/3 avant leur 7e jour de vie), ce qui représente un taux de mortalité de 374,9 pour 100 000. 3 428 jeunes adultes âgés de quinze ans à 24 ans sont morts, soit un taux de mortalité de 42 pour 100 000. Entre 1980 et 2004, le taux de mortalité par mort violente a été environ divisé par deux, de 102,8 pour 100 000 habitants à 57,4 pour 100 000 habitants. Un modèle statistique basé sur l'excès de mortalité et développé par Santé publique France permet d'estimer qu'il y a eu entre 8 100 et 14 400 décès attribuables à la grippe par an durant les trois dernières saisons grippales étudiées. Taux de mortalité par sexe et âge en 2012. Les femmes en fumaient en moyenne moins, avec 11,4 cigarettes par jour, mais la quantité était stable par rapport à 2014. Tableaux, cartes, graphiques et commentaires. Une augmentation due en partie à l'épidémie de Covid-19. De 1946 à 2000, l’espérance de vie a progressé de 62,5 à 79 ans. Ce graphique dévoile la distribution des personnes décédées du coronavirus (COVID-19) en France entre le 1er mars 2020 et le 23 février 2021, selon la tranche d'âge. On peut observer une répartition inégale des décès maternels par âge grâce au rapport de l'Enquête nationale confidentielle sur les morts maternelles (ENCMM) 2010-2012 dont voici l'un des tableaux : Ces données peuvent donner une indication de l'impact qu'a la provenance de la mère sur ses chances de survie. Table de mortalité par âge détaillé 2016-2018, France entière (séries depuis 1999). 2020. Note : donnée 2020 provisoire arrêtée à fin 2020. Larécente publication de Santé Publique France est revenue sur les évolutions dela mortalité depuis 2000. L’enregistrement des décès à l’état civil permet de mesurer les variations de la mortalité. Enfin, 194 428 adultes âgés de plus de 85 ans sont morts, soit un taux de mortalité de 13 650,0 pour 100 000[7]. Quelle est la mortalité du tabagisme en France ? (Dont suicides). En France, la natalité continue de chuter Ainsi, selon l'institut national de la statistique, entre le 1er janvier 2020 et le 7 décembre, 617197 décès sont survenus en France. Ces données sont notamment calculées par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Les pandémies de l’année 2020 ont eu pour effet collatéral de susciter dans le public un intérêt inédit pour les questions de démographie et de mortalité. La France a connu une hausse de 9% de la mortalité sur l'année 2020. 20,7 %, soit 640, étaient dues à des malformations congénitales. Les données de la mortalité en France pour l’année 2020 ont été publiées. L’Ined s’inscrit dans le renouvellement de la recherche française. l’onglet contenant le tableau ou de l’onglet contenant le graphique, Economie - conjoncture - comptes nationaux, Toutes les régions ou tous les départements, Documentation complémentaire sur le recensement, La qualité dans le Service statistique public (SSP), Les actions et démarches qualité dans une approche processus, Classification des fonctions de consommation des ménages, Nomenclatures des professions et catégories socioprofessionnelles, Codification des collectivités d'outre-mer (COM), Codification des pays et territoires étrangers, Collectivités territoriales à statut particulier, Réviser une pension, un loyer, bail ou contrat, Réviser un bail commercial ou professionnel, Consulter les indices et séries chronologiques, Recherche d'indices et de séries chronologiques, Outil d'aide à la création d'entreprise (Odil), Vidéos, outils pédagogiques et interactifs, Gérer les répertoires des personnes physiques, Dématérialisation des échanges de données, Nombre de décès quotidiens par département, Fichiers des personnes décédées depuis 1970, Bibliothèque de l’Insee Alain Desrosières, Epsilon, la bibliothèque numérique de la statistique publique, Commander une prestation, acheter une publication, Tableaux et produits statistiques à façon, Abonnements aux lettres d'information et aux avis de parution, Décrire et analyser les régions et les territoires, Perfectionner ses méthodes et évaluer la qualité, Contribuer à la construction de la statistique européenne et internationale, La construction de la statistique européenne, Les producteurs de statistiques européennes en France, Textes juridiques de la gouvernance statistique européenne, Engagements et mesure de la qualité de service, Les indicateurs de qualité du programme Transparence, Les engagements du programme Services Publics+. En 2019, il y a eu 613 243 décès en France (Outre mer inclus) — contre 609 648 en 2018 et 606 274 en 2017 — pour une population de 66,89 millions d'habitants soit un taux de mortalité de 9,1 pour 1000, un taux stable sur les 10 dernières années. Par ailleurs, chose frappante, le cancer de l’estomac se place parmi les 10 principales causes de mortalité dans les pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure uniquement. Les graphiques indiquent aussi ces valeurs à la naissance, à 1 an et à 5 ans. Au total, pour la période 2010-2012, parmi les cas pour lesquels l’évitabilité a été établie, 14 % des décès maternels ont été jugés « certainement évitables », 42 % « peut-être évitables », et 56 % « non évitables ». Insee Première : Bilan démographique 2020, /static/img/logo_com_externe_semi_bold.png, Affichage de Comme chaque année en janvier, l'INSEE publie ses estimations annuelles de population.En 2019, la fécondité se stabilise en France. Le rouge (50) indique un taux de 1 612 décès pour 100 000 décès de l'année, pour l'âge en ordonnée. La dernière modification de cette page a été faite le 13 février 2021 à 22:11. Principales causes de décès et de morbidité", http://www.lefigaro.fr/sciences/20070918.FIG000000028_le_cancer_premiere_cause_de_mortalite_en_france.html, http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=0&ref_id=IP1318&page=graph#graphique1, http://www.invs.sante.fr/beh/2011/22/beh_22_2011.pdf, Audition de MM. Table de mortalité par âge détaillé 2016-2018, France entière (séries depuis 1999). Publié par E. Moyou, 27 avr. nécessaire]. En France, la grippe saisonnière frappe chaque année en moyenne 2,5 millions de fois et est la cause de 5 décès par jour en moyenne. Ces cinq dernières années, ils ont gagné 0,5 an d’espérance de vie et les femmes 0,2 an. Ici, aucune conclusion de ce type n'est tirée. Mortalité par maladies infectieuses en France Situation actuelle et tendances évolutives Synthèse réalisée par Hassina Lefèvre, Gérard Pavillon, Alain Le Toullec, Françoise Péquignot, Eric Jougla Inserm -CépiDc 44, chemin de Ronde 78110 Le Vésinet. Le solde naturel est donc positif de 198.000 personnes, mais ce chiffre est le plus bas enregistré depuis 1976, juste après la fin du baby-boom. Les graphiques suivants mettent en avant la quantité de survivants pour un âge donné. En France, l'Ined a répertorié les âges de décès, avec plus ou moins de précision, sur la période 1806 à de nos jours[56]. La différence du simple au double s’explique par le fait qu’il y a des années sans excès de mortalité, comme ce fut le cas en 2016.» L'année 2020 est marquée par un triste record : celui du nombre de décès annuels, qui n'aura jamais été aussi élevé depuis l'après-guerre. L’espérance de vie continue de progresser mais les gains ralentissent. La mortalité française : en 2016, 587.000 personnes sont décédées en France. L’intérêt est d’identifier lesévolutions favorables liées à la prévention, à la recherche et à une meilleureprise en charge des tendances plus défavorables relatives aux modes de vie et àl’exposition aux risques. Voici les données de l'ENCMM à ce sujet. Il est passé de 72 ans pour les femmes décédées en 1967 à 83 ans pour celles décédées en 2017, et de 64 à 76 ans pour les hommes sur la même période[11]. À l’inverse, la hausse de la mortalité par cancer dupoumon chez les femmes s’explique par les e… p : décès 2020, taux de mortalité 2018 à 2020 : données provisoires arrêtées à fin 2020. Ils peuvent pour cela s'authentifier à l'aide de leur carte de professionnel de santé[5]. Ainsi, après l'épidémie 2017/2018, la surmortalité hivernale toute cause confondues avait été estimée à 17.900. Les décès par sexe et âge permettent de calculer des tables de mortalité. Il montre qu’une diminution de la mortalité maternelle est encore possible et doit être obtenue, l’objectif étant de prévenir tous les décès évitables"[52]. Tous modes de transmissions Evolution de la mortalité … La France a connu une hausse de 9% de la mortalité sur l'année 2020. *Parmi les 256 morts maternelles identifiées dans l'ENCMM, 2 sont survenues chez des femmes domiciliées hors de France. La France a enregistré en 2020, année marquée par l’épidémie de Covid-19, quelque 53 900 décès de plus qu’en 2019, soit une surmortalité de 9 %, selon un bilan provisoire rendu public ce vendredi 15 janvier par l’Insee.Au total, « 667 400 décès toutes causes confondues sont enregistrés en 2020 en France », précise l’institut statistique. La mortalité infantile ayant été importante par le passé, on étudie généralement les chiffres sur les populations qui ont passé un certain âge. 2) 1994-2003: le taux de mortalité oscille entre 888 et 915, moyenne 902 décès par 100 000 hab. Ainsi, on étudiera l'espérance de vie à la naissance si l'on étudie l'ensemble de la population; l'espérance de vie à 1 an si l'on étudie l'ensemble de la population qui a survécu à sa première année; l'espérance de vie à 5 ans si l'on étudie l'ensemble de la population qui a survécu à ses 5 premières années. Le nombre annuel de décès n’a cependant guère varié, s’élevant chaque année à quelque 550 000. En France, les maladies infectieuses et parasitaires sont la troisième cause de mortalité, derrière le cancer et les maladies cardiovasculaires[réf. Dans cette même période, le taux de mortalité par maladie cardiovasculaire est passé de 444,9 pour 100 000 habitants à 214,4 pour 100 000 habitants, celui par cancer de 256,6 pour 100 000 habitants à 227,5 pour 100 000 habitants[5]. Champ : France hors Mayotte jusqu'en 2014 et y compris Mayotte à partir de 2014. La mortalité en France en 2016 . Les accidents sont à l'origine de 30 % des décès chez les garçons, 22 % chez les filles, suivis par les tumeurs (21 % et 20 %) et les malformations congénitales. Depuis 2007, il est possible de déclarer un décès à l'aide d'une procédure de « certification électronique des décès », les médecins certificateurs transmettent l'information au CépiDc de l'INSERM en remplissant un formulaire sur un poste informatique. En 2020, la France a enregistré une surmortalité de 9 % par rapport à 2019. 17 698 adultes âgés entre 25 et 44 ans sont morts, soit un taux de mortalité de 103,1 pour 100 000. En effet, sa volonté est de démontrer une analyseplus pertinente à un niveau plus long-termiste. Les graphiques suivants mettent en avant le pourcentage de la population morte à un âge donné. Les graphes qui suivent représentent l'évolution de l'espérance de vie et des quantiles de survie. La mortalité française : en 2016, 587.000 personnes sont décédées en France. En 2019, il y a eu 613 243 décès en France (Outre mer inclus)[1]— contre 609 648 en 2018 et 606 274 en 2017 —[2] pour une population de 66,89 millions d'habitants soit un taux de mortalité de 9,1 pour 1000[2], un taux stable sur les 10 dernières années[2]. En France par exemple ce taux à une tendance évoluant généralement à la baisse : En comparaison, en 2015, avec les données disponible, La Sierra Leone est dernière avec 1360 de Taux de mortalité maternelle (MMR : maternal mortality ratio (en)), la Somalie obtient 732 en 2015, le Yémen 385, l'Afrique du Sud 138, la Roumanie 31, la Chine 27, les États-Unis 14. Le nombre de décès diminue de 1% par rapport à l'année précédente, ce qui représente 7.000 décès en moins. Le nombre annuel de décès n’a cependant guère varié, s’élevant chaque année à quelque 550 000. En 2019, la France compte 67 millions d'habitants, en hausse de 0,3% par rapport à 2018. Claude Huriet, président, et Dominique Martin, directeur de l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (Oniam), http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=0&ref_id=IP1318, Évolution détaillée du nombre de décès en France métropolitaine, Portail des probabilités et de la statistique, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Mortalité_en_France&oldid=179885687, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Sciences humaines et sociales/Articles liés, Portail:Probabilités et statistiques/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Autres maladies de l’appareil circulatoire, Cardiovasculaires (comprend les cardiopathies du péritum), Autres maladies infectieuses ou parasitaires (surtout. Par sa situation géographique qui en fait un lieu de croisement des commerces et des populations, puis par son histoire d'ancienne puissance coloniale, la France est un pays de migration de longue date. Déjà mesurée en mars-avril 2020, la hausse des décès a également été constatée entre septembre et décembre 2020. Dans ce précédent billet, la mortalité en France pour l'année 2020 a été rapprochée de celle des années 2018 et 2019.On prolonge ici cette analyse en mettant en perspective l'évolution du taux de mortalité global en France depuis 1982. Le nombre de décès quotidiens en France est reparti légèrement à la hausse depuis début janvier par rapport au niveau constaté fin décembre, selon le bilan hebdomadaire des décès pendant l'épidémie de Covid-19 publié par l'Insee. En 2017, sur les 606 000 personnes décédées en France la moitié avait plus de 83 ans et un quart plus de 90 ans. 1/ Introduction. Afin d'évaluer la mortalité maternelle, un indicateur de performance statistique clé est utilisé à travers le monde : le taux de mortalité maternelle. En 2030, la France devrait ainsi compter environ 71 millions d’habitant – si les taux de mortalité et de natalité, ainsi que le solde migratoire, n’évoluent pas dans des proportions importantes. Mortalité en France : des décès en hausse de 14% depuis le début d’année par rapport à 2020. *Autres pays : 9 Haïti, 3 Turquie, 2 Vietnam, 1 Australie, 1 Canada, 1 Chine, 1 Comores, 1 Mayotte, 1 Iran, 1 Honduras, 1 Indonésie, 1 Malaisie, 1 Ouzbékistan, 1 Pérou, 1 Sri Lanka, 1 Ukraine, 1 Taïwan, 1 République dominicaine.
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